jeudi 21 février 2008

La ville émergente /rencontre villes 2.0 FING.Paris (1)

Emergence d'idées neuves et de nouveaux canaux pour les mettre en oeuvre.

Mashups citoyens, détournements par les utilisateurs au niveau des services et de leur évolution.

Ex.de vélib. Un service physique dont la partie numérique est détournée mais aussi sa partie physique (selle retournée = vélo défectueux).

6 caractéristiques :

- informations accessibles utilisables non seulement comme service mais réagençables
- informations faciles à réutiliser
- espace public malléable et hackable
- une place active pour l'usager
- dispositifs de béta-test
- gouvernance et régulation avec 3 conditions de succès:

- le partage des données
- partage d'infrastructures mutualisables
- implication de l'usager

Exemple de velib et autolib (pars d'automobiles propres).


S.Distinguin et le quartier numérique.

Autolib : il existe de services. Comment fédérer déjà les opérateurs existants et proposer une plateforme globale et interopérable.

A) interopérabilité
B) la portabilité de la donnée : comment partager les profils d'utilisateurs de manière à leur proposer de services pour pouvoir proposer une suite servicielle dans un trajet par exemple.
c) ouverture à l'usager

ex : chacun devient un organisateur de transports (existe aux USA), personnalisation des vehicules avec des kits, etc...

D.Kaplan : qui peut etre l'opérateur de tout cela ?

S.Distinguin : contrôle de la plateforme par la collectivité, l'etat...
Ou alors proposition par de prestataires privés de la couche d'interopérabilité, d'abstraction supplémentaire au dessus des véhicules.

JF Marchandise. Qui fait quoi entr acteurs privés et publics ?

En meme temps c'est impossible et incontournable de faire la plateforme d'innovation ouverte. Problème de culture par rapport au mille-feuille des acteurs publics. Gros problème de transversalité inter-thématique. Mais en meme temps l'acteur public doit travailler à un cadre créant ce territoire innovant. Sinon le risque est un développement "en taches de léopard", etc.

Doit-il faire le 12 ou le 118 ?

Des initiatives de construction publique de cadre commun existent, comme le projet de "proximité". La géolocalisation des services sur le territoire. Une option serait de laisser faire les pages jaunes, google, etc. Mais cela signifie abdiquer tout rôle de chef d'orchestre pour l'acteur public. L'acteur public a moins les moyens d'imposer son pouvoir que les gros acteurs privés. Mais il peut mettr en place un cadre cohérent dans lequel les entreprises puissent développer des services.

D.Kaplan: pourquoi un acteur privé ne peut-il pas porter ses informations sur l'annuaire public de proximité ?

Travailler sur des référentiels, l'interopérabilité des informations, de services (authentification...). Il faut que l'appel à s'inscrire sur ces plateformes soit émis et motivant. L'acteur public rassure car il peut s'inscrire dans la durée : il n'est pas lui-même la logique de l'offre. Il peut se mettre dans le camp de l'habitant en ne se cantonnant pas à une logique d'offre.

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